C’est en 2010 que Stéphane Labeau édifie l’histoire des couteaux Deejo. Luc Foin, ami et associé, a par la suite rejoint l’aventure.

Deejo et ses couteaux tant novateurs de par leur fausse allure minimaliste, qu’agréables de par leur légèreté comparable à une lettre ; ils sont le fruit véritable de l’aventure de deux hommes donnant le jour à un art de table et bien au-delà, un art de vivre. Des couteaux regorgeant de sens, davantage exacerbés au gré des quatre coins du monde parcourus par ces passionnés des moments de vie. Ces redoutables observateurs et amoureux du détail sont alors à l’origine de couteaux chargés d’émotions.

Naturellement fascinés par l’élégance des cultures dites « primitives », ce sont des couteaux possédant une âme qui se pare du rayonnement et de la poésie du pays du Soleil Levant jusqu’à l’art du tatouage tribal de Polynésie, ainsi que de la symbolique unique des instants du quotidien. Les amoureux de montres, de stylos et de couteaux de poche pourront s’imprégner d’une histoire qui les ressemble, matérialisée par des finitions en acier inoxydable, teintés des reflets du titane, ornés de divers bois aux essences variées. Tel un art de vire, les couteaux Deejo possèdent de multiples atouts et sont membres à part entière d’un art de table issu du savoir-faire français, fort d’une qualité maitrisée. La marque Deejo doit ainsi son succès au processus et à la qualité de la fabrication de ces couteaux.

Simples, légers, ultra légers, sans compromis sur la taille pour n’emporter avec soi que l’essentiel : le plaisir d’une coupe parfaite et d’un porte-bonheur, d’un porte-histoire.L’histoire de Deejo et sa promesse de redonner de l’élégance à un geste désuet : celui d’utiliser un couteau de poche au quotidien.